Né à Paris en 1657, peintre. Devint dramaturge à soixante ans, et écrivit des comédies pour les Comédiens italiens de Riccoboni. Auteur de Pluton ou Junon jalouse, inspirée de Pausanias. Mort en 1745, à 86 ans, peu après la représentation de Platée à la cour. | ||
Frère du notaire de Rameau, fervent partisan de la musique de théâtre française. Adapta le livret du Ballet des Arts, de Houdar de La Motte. | ||
Né à Montauban en avril 1706 – auteur dramatique, metteur en scène et librettiste. Auteur d’un Traité de la danse ancienne et moderne et d’articles dans l’Encyclopédie (Ballet, Danse, Décoration, Opéra). Eut une longue liaison avec Marie Fel. Mort à Paris en juin 1759. | ||
Chansonnier et dramaturge. Fils d’un substitut du procureur du roi au Châtelet de Paris et cousin du dramaturge Jean-François Regnard. Ami de Charles-François Panard et comme lui membre de la société du Caveau, réunion de chansonniers et de littérateurs, auteur de chansons et de comédies (Dupuis et Desronais – 1763). Né et mort à Paris. | ||
Né à Paris en octobre 1674. Auteur de deux cents ouvrages : comédies pour la Comédie française (Momus fabuliste – 1719) et les Italiens ou pour la foire, notamment des parodies de Lully, Campra, Destouches, Marais, et des opéras-comiques (Arlequin défenseur d’Homère – 1715). Membre du Caveau. Rédacteur de 1721 à 1724, puis co-éditeur du Mercure de 1744 à 1748. Mort à Paris en septembre 1752. (voir aussi Baroquelibretto) | ||
Secrétaire du gouvernement de Choisy, auteur d’un Art d’aimer, imité d’Ovide, qu’il conserva trente ans, et dont il se bornait à lire des extraits « aux soupers de la grande ou de la bonne compagnie », et qui ne fut édité qu’après sa mort.
Le surnom de Gentil lui aurait été donné par Voltaire |
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Né vers 1716, âgé de vingt-trois ans lors de la création de Dardanus. Auteur de comédies (Les Mécontents – 1734), d’une Histoire de Charlemagne. Rédacteur au Mercure de 1752 à 1754. Secrétaire du duc de Nivernais, ambassadeur au Saint-Siège. Mort à Rome en 1754, à l’âge de 38 ans. | ||
Auteur de romans épiques (Les Incas, Bélisaire), de Contes moraux, de tragédies et de Mémoires. Il était fort assidu chez la fermier général La Pouplinière. | ||
Né à Lyon, Maître à la Chambre aux Deniers du Roi, poète amateur, ami de La Pouplinière. | ||
Adapta la pièce d’Autreau, en créant notamment le personnage de la Folie. | ||
Né à Marseille en 1663, élève des Jésuites, novice à Moustiers-Ste Marie. Ordonné prêtre, il s’enrôla comme aumônier sur une galère royale sur laquelle il fit deux voyages au Levant. Grâce à Madame de Maintenon, il fut relevé des obligations monastiques, et publia des pésies religieuses. l écrivit des tragédies (Pénélope – 1711), des farces pour la foire, puis des livrets d’opéra (Jephté de Montéclair – 1731), mais finit par être suspendu a divinis par l’archevêque, le cardinal de Noailles. Mort à Paris en septembre 1745, à 82 ans. On a dit de lui qu’il « tenait boutique ouvert d’épigrammles, de madrigaux, de compliments qu’il vendait plus ou moins cher, selon le nombre et la différente mesiure des vers, depuis deux juqu’à douze syllabes ». (voir aussi Baroquelibretto) | ||
Né à Paris. Poète et dramaturge à partir de 1725. Dut s’éloigner de Paris en 1734, où il ne revint que de 1745 à 1750. Mort à Ferney à 84 ans. |