COMPOSITEUR | Henry PURCELL |
LIBRETTISTE |
ORCHESTRE | Orchestre et Chœur de l’English National Opera |
CHOEUR | |
DIRECTION | Nicholas Kok |
MISE EN SCENE | David Pountney |
Titania | Yvonne Kenny | |
Oberon | Thomas Randle | |
Puck | Simon Rice | |
Theseus/Hymen | Richard Van Allen | |
Michael Chance | ||
Matthew Best |
DATE D’ENREGISTREMENT | 1995 |
LIEU D’ENREGISTREMENT | |
ENREGISTREMENT EN CONCERT |
EDITEUR | Arthaus |
DISTRIBUTION | Naïve |
DATE DE PRODUCTION | 26 décembre 2000 |
LANGUE | anglais |
SOUS-TITRES EN FRANCAIS | |
IMAGE | PAL – 16:9 |
SON | PCM Stéréo |
DISPONIBLE | Zones 2 et 5 |
Critique de cet enregistrement dans :
Diapason – juillet/août 2002 – appréciation 5 / 5
« C’est avec un plaisir gourmand que David Pountney se laisse égarer : aux rigueurs de la logique, il préfère la plus libre fantaisie…Un peu de poésie, beaucoup d’humour, un orchestre moderne mais qui sait jouer la carte du dynamisme et de la légèreté… »
Classica – mai 2002 – appréciation Recommandé
« David Pountney préfère une approche narrative, l’humour du texte étant mis en valeur jusqu’aux nombreuses allusions sexuelles…Quant au bric-à-brac des costumes et gags sur scène, c’est à la comédie musicale de Broadway qu’il renvoie…Sur la troupe brille Yvonne Kenny…Un des spectacles les plus réjouissants de l’ENO. »
Le Monde de la Musique – appréciation 3 / 5
« La mise en scène est une succession de numéros plus ou moins réussis. Si certaines scènes ne manquent pas d’humour ou de poésie, le tout forme un ensemble inégal et bigarré où les numéros dansés peinent à trouver leur place. L’orchestre de l’ENO joue dans un style assez juste mais utilise une édition douteuse. La direction de Nicholas Kok, à défaut d’être personnelle, se révèle convaincante. Au sein d’une distribution inégale, la Titania « grand format » d’Yvonne Kenny l’emporte sur l’Obéron de Thomas Randle. »
Répertoire – janvier 2002
« Fidèle reflet d’un spectacle haut en couleurs mis en scène en 1995 à l’Opéra national anglais, cette captation présente le meilleur et le pire que l’on puisse attendre d’une recréation d’opéra baroque…Le continuo est varié et attentif, l’énergie et l’esprit sont là, mais Purcell résiste mal à ces sonorités boursouflées et à ces vents ternes et disciplinés. La mise en scène propose une lecture très amusante et richement référencée qui met l’accent sur les désirs troubles et exacerbés qui entourent le couple Titania et Obéron, magnifiquement incarné par Yvonne Kenny et Thomas Randle…L’image est excellente et supporte sans brocher les contrastes appuyé. Bon équilibre général entre les voix et l’orchestre. »