COMPOSITEUR | Claudio MONTEVERDI |
LIBRETTISTE | Giovanni Francesco Busenello |
ORCHESTRE | London Philarmonic |
CHOEUR | Glyndebourne Chorus |
DIRECTION | Raymond Leppard |
MISE EN SCENE | Peter Hall |
Poppea | Maria Ewing | |
Nerone | Dennis Bailey | |
Ottavia | Cynthia Clarey | |
Seneca | Robert Lloyd | |
Arnalta | Anne-Marie Owens | |
Drusilla | Elizabeth Gale |
DATE D’ENREGISTREMENT | 1984 |
LIEU D’ENREGISTREMENT | Festival de Glyndebourne |
ENREGISTREMENT EN CONCERT | oui |
EDITEUR | Kultur Video |
COLLECTION | |
DATE DE PRODUCTION | 1997 |
Critique de cet enregistrement dans :
- Opéra International – février 1992
« Le choix de la version Leppard perd tout son sens avec le Nerone engorgé et incapable de prononcer le moindre mot de Dennis Bailey. On atteint ici les abîmes de l’horreur avec Robert Lloyd en Seneca…Cette version vaut pour Maria Ewing, brillante actrice, belle personnalité, qui donne à Poppea tout son caractère érotique…En dépit de la médiocrité de la distribution, c’est un soulaegment de découvrir la fraîcheur de ce spectacle sans prétention, fidèle à l’esprit de Glyndebourne, où le théâtre et la musique retrouvent leurt vraie pulsation. »
- Opéra International – avril 1982
« Il est difficile de réussir à insuffler la vie aux marmoréennes figures de l’édition Leppard. Sir Peter Hall ne tire aucun profit du dispositif scénique, se contente de faire entrer et sortir tout son monde, sous l’oeil vigilant des allégories grimées du Prologue »… »On retiendra la silhouette de Maria Ewing qui compose une Poppée savamment absente, supportant à peine le contact physique avec le Néron sans style de Dennis Bailey »… »L’Octavie de Cynthia Clarey et le Sénèque de Robert Lloyd ne vibrent vraiment pas, et se croient tous deux en finale d’un concours de chant, désespérants de raideur »… »Deux petits plaisirs, toutefois : une Arnalta jubilante et poitrinante sous son ombrelle, la radieuse Drusilla, exaltée de tendresse »… »Le clavecin occupoe toujours autant de place, arpégeant sans discontinuer ».