A paru également en CDV (1991)Critique de cet enregistrement dans :
Opéra International – février 1992 – appréciation 2 / 5
« Quelle tristesse de ne pas avoir capté les productions de Jean-Pierre Ponnelle et de l’Opéra de Zürich sur le vif ! Au contraire Ponnelle a préféré tourner les films en studio, Harnoncourt enregistrant de nouvelles intégrales pour servir de bande son. Les interprètes miment leur rôle, rendant absurde le discours théâtral…La dramaturgie de Monteverdi s’estompe et perd son impact…Trudeliese Schmidt est une Ottavia frôlant l’absurde, et Matti Salminen un Seneca revu par Wagner. Sans compter le choix d’un falsettiste pour Ottone et d’un travesti pour Arnalta. »