XERXES |
COMPOSITEUR |
Georg Friedrich HAENDEL |
LIBRETTISTE |
d’après Nicolo Minato et Silvio Stampiglia |
ORCHESTRE | Chor und Sinfonie Orchester des Bayerischen Rundfunks |
CHOEUR | |
DIRECTION | Rafael Kubelik |
Xerxes | Fritz Wunderlich | |
Arsamenes | Nan Pöld | |
Amastris | Herta Töpper | |
Romilda | Jean Cook | |
Atalanta | Ingeborg Hallstein | |
Ariodates | Karl Christian Kohn | |
Elviro | Max Proebstl |
DATE D’ENREGISTREMENT | 22 au 28 octobre 1962 |
LIEU D’ENREGISTREMENT | Herkulessaal – Munich |
ENREGISTREMENT EN CONCERT | non |
EDITEUR | Orfeo d’Or |
DISTRIBUTION | Harmonia Mundi |
DATE DE PRODUCTION | mai 1998 |
NOMBRE DE DISQUES | 3 |
CATEGORIE | AAD |
chanté en allemand
Critique de cet enregistrement :
Opéra International – juillet/août 1998 – appréciation 2 / 5
« Nul doute que ce coffret s’adresse prioritairement aux « mordus » de la voix de Fritz Wunderlich…qui apparaît ici dans un répertoire où il n’a rien à faire, rien à dire »… »la direction de Rafael Kubelik emphatique et d’une raideur désespérante »… »une partition défigurée par des transpositions, des coupures »… »Tout le monde chante autre chose que du Haendel »… »Les deux sopranos débitent des notes au kilomètre »… »le contralto est complètement hors de propos »… »le second ténor et les basses braillent un répertoire qui leur échappe ».
Diapason – avril 1996
« bande radio, en allemand, incomplet, transposé, sans feu ni fantaisie. »
Opéra International – octobre 1990 – appréciation 1 / 5
« traduction allemande du livret, coups de cisailles dans la partition, transposition des parties de castrat et de travesti pout ténor et basse, emploi d’interprètes en porte-à-faux complet avec ce répertoire. La direction de Kubelik est d’une platitude extrême, annihilant jusqu’au moindre charme de l’opéra…Fritz Wunderlich ne montre ici ni compétence ni compréhension particulière pour le chant haendélien…Ses partenaires frisent quant à eux le désastre. De Romilda et Atalanta, Ingeborg Hallstein et Jean Cook ne proposent des caricatures. Seule Herta Töpper tire un tant soit peu son épingle du jeu. »