LA PURPURA DE LA ROSA |
COMPOSITEUR |
Tomas de TORREJON Y VELASCO |
LIBRETTISTE |
Pedro Calderon de la Barca |
ORCHESTRE | The Harp Consort |
CHOEUR | |
DIRECTION | Andrew Lawrence-King |
Adonis | Ellen Hargis | |
Venus | Judith Malafronte | |
Marte | Maria del Mar Fernandez Doval | |
Gloria Banditelli | ||
Douglas Nasrawi | ||
Josep Cabre | ||
Louise K. Stein | ||
Nancy Mayer | ||
Paivi Järviö | ||
Santina Tomasello | ||
Steve Player | ||
Johanna Almark | ||
Jennie Cassidy | ||
David Douglass | ||
Pedro Estevan | ||
Mike Fentross | ||
Gabriela de Geanx | ||
Ellen Hargis | ||
Thomas Ihlenfeldt | ||
Pat O’Bien | ||
Graham Nicholson | ||
Paul O’Dette | ||
Caitriona O’Leary | ||
Hille Perl | ||
Steve Player | ||
William Roth | ||
Santina Tomasello |
DATE D’ENREGISTREMENT | 1997 |
LIEU D’ENREGISTREMENT | |
ENREGISTREMENT EN CONCERT |
EDITEUR | Dutsche Harmonia Mundi |
COLLECTION | |
DATE DE PRODUCTION | janvier 2000 |
NOMBRE DE DISQUES | 2 |
CATEGORIE | DDD |
DISPONIBILITE | oui |
Critique de cet enregistrement dans :
Répertoire n° 126 – note 8/10
Diapason – novembre 2000
« Andrew Lawrence-King optait en 1997 pour une version plus scrupuleuse du texte original, mais dont la distribution, cosmopolite zet globalement honnête, ne parvenait cependant pas à susciter l’enthousiasme ».
Opéra International – novembre 1999 – appréciation 5 / 5
« Le résultat sonore ici proposé séduit indiscutablement. Et pourtant la nomenclature intrumentale est modeste : une corde aigüe et deux trompettes en guise d’instruments mélodiquesn en sus du continuo »… »Les couleurs, les rythmes et l’allant proposé sont un enchantement permanent. L’équipe de solistes répond à la vive imagination des instrumentistes. Signalons notamment l’engagement de Judith Malafronte dans le rôle de Vénus. »
Diapason – octobre 1999 – appréciation 5 / 5 – technique 6
« La réalisation de l’excellent harpiste baroque Andrew Lawrence-King est nettement plus scrupuleuse (que celle de René Clémencic). Respectant au plus près le texte original, elle fait appel à un ensemble instrumental très restreint, avec deux trompettes et un seul violon en guise de « dessus », et un groupe de basse important, aux sonorités ibériques…Quelques ballets instrumentaux d’autres compositeurs ont été intercalés. La distribution, fort cosmopolite, est sans faille véritable. Certes les aigus de Judith Malafronte peuvent paraître agressifs, mais on retiendra plutôt l’épatant abattage de Gloria Banditelli ou le beau timbre d’Helen Hargis. »
Goldberg – août 1999 – appréciation 3 / 5
« Les lectures (arpèges et percussions à profusion, choeurs nourris et puissants) sont tellement idéalisés qu’elles en deviennent grandiloquentes »… »Le tout très commercial. Les « jacaras » sont très aimables, mais peu guillerettes. Les comiques Chato et Celfa frisent le grotesque »… »Les accompagnements donnent une couleur excessivement uniforme à tout l’opéra. »
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206 F | 195 F | 213 F | 213 F |
à jour au 20 mars 2001