CD Orlando Furioso (direction Claudio Scimone) 1977 – Collection Erato

ORLANDO FURIOSO

Orlando furioso en LP

Orlando Furioso

COMPOSITEUR

Antonio VIVALDI

LIBRETTISTE

Gazzio Braccioli, d’après L’Arioste

 

ORCHESTRE I Solisti Veneti
CHOEUR Amigi della Polifonia – dir. Pietro Cavalli
DIRECTION Claudio Scimone

Orlando Marilyn Horne mezzo-soprano
Angelica Victoria de Los Angeles soprano
Alcina Lucia Valentini-Terrani mezzo-soprano
Bradamante Carmen Gonzales alto
Ruggiero Sesto Bruscantini baryton
Astolfo Nicolas Zaccaria basse
Medoro Lajos Koszma ténor

DATE D’ENREGISTREMENT 1977
LIEU D’ENREGISTREMENT
ENREGISTREMENT EN CONCERT non

EDITEUR WEA
COLLECTION Erato
DATE DE PRODUCTION 1978/1986/2001
NOMBRE DE DISQUES 3
CATEGORIE ADD

Critique de cet enregistrement dans :

Diapason – novembre 2004

« L’Orlando furioso de Scimone (Erato) avec Marilyn Home reste la pierre fondatrice de toute discothèque lyrique vivaldienne. Bien qu’amputé de la moitié des airs, et en dépit des légendaires phrasés savonneux du Padouan, l’opéra revit. Prodigieux récit de « la folie », divine Victoria de Los Angeles. »

Classica – Discothèque idéale de l’opéra – septembre 2002

« La production de Scimone fait rêver. L’éclat de la distribution se passe de ccommentaires. Los Angeles signe un de ses meilleurs disques ; Horne déploie l’entière palette de son timbre. Mais la plus grande des trois divas reste Valentini-Terrani, à la virtuosité époustouflante et à la distinction constante : un mariage subtil de goût classique et d’ivresse baroque, d’intériorité et de panache. »

Le Monde de la musique – mars 2002

« La meilleure production d’un opéra de Vivaldi à ce jour, malgré les imprécisions musicologiques. Claudio Scimone est dans un grand jour , et Marilyn Horne est aboslument hallucinante dans ses deux grands airs virtuoses. »

Répertoire – octobre 2001 – appréciation : 10 de Répertoire

« Deux grandes dames accompagnées par deux messieurs de valeur. Malgré la vigoureuse et inventive direction de Claudio Scimone, on n’est pas encore dans les canons baroquisants. Il s’agit de toute manière d’un enregistrement sublime…Un vrai feu d’artifice vocal. »

Classica – Antonio Vivaldi en 15 CD – septembre 2001

« Cette production de Scimone fait autant rêver qu’elle suscite de nostalgie. L’éclat de la distribution se passe de commentaires : Los Angeles, Horne et Valentini-Terrani, à la virtuosité époustouflante sans jamais en rajouter à la distinction constante : un subtil mariage de goût classique et d’ivresse baroque, d’intériorité et de panache. »

Classica – Guide de l’opéra en 250 CD – novembre 2000 – version conseillée

 « Cette production de Scimone fait autant rêver qu’elle suscite la nostalgie. L’éclat de la distribution se passe de commentaires : Los Angeles signe un de ses derniers disques ; Horne déploie l’entière palette sombre de son timbre »… »Mais la plus grande de ces Trois Grâces reste Valentini-Terrani, à la virtuosité époustouflante…un subtil mariage de goût classique et d’ivresse baroque, d’intériorité et de panache ».

 Opéra International – janvier 1987 – Le Timbre d’Argent

« Cet enregistrement et le spectacle qui suivit au Teatro Filarmonico de Vérone firent date. La mise en scène de Pier Luigi Pizzi offrait au public ébloui des images d’une surprenante beauté, toutes empruntées aux plus beaux tableaux de Tiepolo. Le disque réunissait des voix de légende, au service d’une partition aux splendeurs flamboyantes : Horne est étourdissante, Valentini-Terrani éblouissante, Los Angeles vibrante, sous la direction d’un véritable orfèvre. »

 Fnac – présentation

« Brodant, comme beaucoup d’autres compositeurs, sur la légende du chevalier Roland et de la magicienne Alcina du Jérusalem délivrée du Tasse, Vivaldi en pleine maturité composait pour Venise le plus important de ses opéras. L’italien Claudio Scimone l’a tiré de l’oubli et enregistré en 1977 avec son ensemble I Solisti Veneti et rien moins que Marilyn Horne, Victoria de Los Angeles et Lucia Valentini-Terrani. Un trio de rêve pour un opéra héroïque n’épargnant la virtuosité d’aucun de ses protagonistes. »

Vivaldi – Roland de Candé – juin 1994

 « Une réalisation splendide musicalité, de vie et de belles sonorités. Marilyn Horne est stupéfiante, à ses côtés Victoria de Los Angeles et Lucia Valentini-Terrani sont de tout premier plan. Les voix d’hommes sont un peu en retrait, mais un merveilleux ensemble. On ne regrette que quelques remaniements apportés par Scimone : changement d’instrumentation, inversion de scènes, ajout d’un air de cantate, alors qu’il manque de nombreux airs originaux. »

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