CD Orfeo (direction Calusio)

L’ORFEO

COMPOSITEUR

Claudio MONTEVERDI

LIBRETTISTE

Alessandro Striggio

 

ORCHESTRE Choeur et Orchestre de La Scala
CHOEUR
DIRECTION Ferrucio Calusio

Orfeo Enrico De Franceschi
Euridice, la Musica Ginevra Vivante
La Messagiera Elena Nicolai
Proserpina, Speranza Vittoria Palombini
Plutone, Caronte Alessandro Marone
Apollo, Pastore II Giuseppe Manacchini
Pastore I Enrico Lombardi

DATE D’ENREGISTREMENT décembre 1939
LIEU D’ENREGISTREMENT Milan – La Scala
ENREGISTREMENT EN CONCERT oui

EDITEUR Walhall
COLLECTION Eternity Series
DATE DE PRODUCTION août 2004
NOMBRE DE DISQUES 2 ( L’Orfeo – « Possente spirto » – Kammerorchester Berlin – dir. Helmut Koch – avec Max Meili – 1949 L’Arianna – « Lasciatemi morire » – Ezio Pinta et Fritz Kitzinger (piano) – 1940 L’Arianna – « Lasciatemi morire » – dir. Rainaldo Zamboni – avec Benjamino Gigli – 1947 L’Arianna – « Lasciatemi morire » – Kathleen Ferrier – 1950)
CATEGORIE ADD mono

Version Malipiero (1923) – Adaptation Giovanni Benvenuti

 

Critique de cet enregistrement dans :

Opéra International – février 2005 – appréciation 2 / 5

« archéologie discographique…tempi immobiles, édition datée de Malipiero, fortes voix plutôt galbées pour Respighi. Pour chercheurs et collectionneurs. »

Opéra International – mars 1982

« Publiée en 78 tours en septembre 1940, reportée en microsillon en 1964 et regravée en 1979, la version dirigée par le chef argentin, remplaçant de Toscanini dans les années 1930, utilise la révision effectuée par Malipiero en 1923. Son uniformité de ton, son style pompeux et pesant, des chanteurs qui ignorent tout du chant baroque et sont tout imprégnés du style vériste… »

 L’Avant-Scène Opéra

« Le premier enregistrement intégral de L’Orfeo parut initialement en septembre 1940 dans la légendaire collection « Musiche italiane antiche », sous la forme de douze disques 78 tours. La direction avait été confiée au célèbre chef lyrique argentin Ferruccio Calusio, remplaçant habituel de Toscanini. Il choisit pour arrangement la première version publiée par Giacomo Benvenuti… l’orchestre ne comprend que des cordes et quelques vents (trompettes, trombones, flûtes et hautbois), et surtout présente un continuo avec clavecin, harpe et orgues. Mais cette sage adaptation reste entièrement dévolue au style symphonique et vocal de son temps, et la réalisation de la basse continue fait référence à un langage tonal bien installé. Enrico de Franceschi, baryton au timbre clair, était incontestablement plus à l’aise dans le rôle de Rigoletto que dans celui d’Orfeo, dont les vocalises vertigineuses devaient lui paraître particulièrement  » exotiques ». Cette version aux accents véristes n’en demeure pas moins un témoignage passionnant des temps héroïques. »

 

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