CD La Faretra smarita

L’oeuvreLe compositeur

LA FARETRA SMARRITA

La Faretra Smarrita

COMPOSITEUR

Sebastiano MORATELLI

LIBRETTISTE

 

ORCHESTRE Salzburger Hofmusik
CHOEUR
DIRECTION Wolfgang Brunner

Mercure Hermann Oswald
L’Africain Thomas Ruf
L’Amour Verena Krause
L’Asiatique Gunther Schmid
L’Américain Marin Steffan
L’Européen Rufus Müller

DATE D’ENREGISTREMENT 1998
LIEU D’ENREGISTREMENT
ENREGISTREMENT EN CONCERT oui

EDITEUR CPO
DISTRIBUTION Codaex
DATE DE PRODUCTION juillet 2002
NOMBRE DE DISQUES 1
CATEGORIE DDD

 Critique de cet enregistrement dans :

Goldberg – mars 2003 – appréciation 3 / 5

« L’interprétation, dont celle du délicieux Amour de Verena Krause en tête, est fougueuse et extrêmement agréable, avec Brunner offrant une bonne interprétation de la partition colorée qui inclut hautbois, flûtes à bec, trombone et basson. Même courte, La Faretra smarrita nous apporte, en la suggérant, la preuve suffisante que la perte des opéras de Moratelli est regrettable. » 

Répertoire – mars 2003 – appréciation 7 / 10

« La distribution souffre d’un Asiatique peu à son aise, mais bénéficie d’un Amour absolument admirable en la personne de Verena Krause. Oswald est un Mercure plutôt convaincant et le reste des chanteurs est d’un niveau honorable. On appréciera surtout la grande délicatesse de l’accompagne-ment de Brunner et de ses musiciens, en particulier les sublimes flûtes àbec. Le paysage de la musique vocale de la fin du XVIIe siècle ne se trouve pas ici véritablement bouleversé, mais ce disque charmant peut valoir un coup d’oreille. »

Diapason – décembre 2002 – appréciation 4 / 5

  « L’interprétation, saisie en direct, est remarquable. Si la battue de Brunner reste fruste et si l’on pourrait rêver d’un ensemble plus étoffé, les chanteurs se distinguent par la beauté des timbres et, chose appréciable, la netteté de la diction – les chanteurs principaux, surtout (Verena Krause et Hermann Oswald), aussi l’imposante basse de Thomas Ruf et deux ténors (Steffan et Müller), dont les voix mixtes contrastent idéalement avec le baryténor d’Oswald. »