COMPOSITEUR | Claudio Monteverdi |
LIBRETTISTE | Giovanni Francesco Busenello |
ORCHESTRE | Concerto Köln |
CHOEUR | |
DIRECTION | René Jacobs |
MISE EN SCENE | Michael Hampe |
Poppea | Patricia Schuman | |
Nerone | Richard Croft | |
Ottavia | Kathleen Kuhlmann | |
Seneca | Harry Peters | |
Ottone | Jeffrey Gall | |
Drusilla | Darla Brooks | |
Arnalta | Curtis Rayam | |
Nutrice | Dominique Visse |
DATE D’ENREGISTREMENT | 1993 |
LIEU D’ENREGISTREMENT | Festival de Schwetzingen |
ENREGISTREMENT EN CONCERT | oui |
EDITEUR | Arthaus |
DISTRIBUTION | Naïve |
DATE DE PRODUCTION | novembre 2000 |
LANGUE | italien |
IMAGE | PAL 4:3 |
SON | PCM stéréo |
NOMBRE | 1 |
DISPONIBLE | oui – DVD multizones |
Critique de cet enregistrement dans :
Diapason – juillet/août 2002 – appréciation 5 / 5
« Ce Couronnement se veut avant tout théâtral, ce qui explique sans doute l’élimination du Prologue et les coupures dans le deuxième acte, l’accent étant mis sur le resserrement du drame plus que sur les ruptures de ton…René Jacobs a opté pour une réalisation instrumentale qui privilégie la diversité, la couleur, la lisibilité. De Patricia Schuman, honnête chanteuse sans grand rayonnement, il obtient des miracles…Dans l’astucieux décor de Paul Roos et Henning Angebrandt, Michael Hampe inscrit une mise en scène de bon aloi et cerne au mieux les personnages, jusque dans leurs aspects les plus troublants. »
Répertoire – janvier 2002 – appréciation RR (3/4)
« La pénombre accrue des fonds n’amène ici aucune simplification et la mappemonde argentée sur laquelle évoluent les protagonistes se pare de reflets divers et toujours suffisamment subtils. Le format annoncé de 16/9 est par contre un 4/3 traditionnel…Côté son, c’est assez satisfaisant, les voix sont excellentes, mais l’orchestre un peu sourd. Côté sous-titres, pas mal d’erreurs et de bugs divers dans la vesrion française…Sur le plan musical, on retrouve les qualités habituelles de Jacobs dans Monteverdi : une direction vivante et efficace, un grand sens des situations dramatiques…L’orchestre est dominé par les prestations virtuoses de Jean Tubéry et William Dongois. Le Sénèque de Harry Peeters est abolument convaincant sur le plan du style et de l’impact dramatique…Patricia Schumann et Richard Croft tirent un peu vers un lyrique moins détaillé et émouvant quand on songe à certaines incarnations discographiques de célèbre mémoire. Cette fort belle version captée en 1993 ne manque pas de séduction »