Alcina (Alan Hacker 2002)

Alcina DVD

COMPOSITEUR Georg Friedrich HAENDEL
LIBRETTISTE Antonio Marchi (d’après l’Arioste)

 

ORCHESTRE Staatsorchester Stuttgart
CHOEUR
DIRECTION Alan Hacker
MISE EN SCÈNE Jossi Wieler / Sergio Morabito
DECORS/COSTUMES Anna Vierbrock
LUMIÈRES Dieter Billino
Alcina Catherine Naglestadt
Ruggiero Alice Coote
Bradamante Helene Schneidermann
Morgana Catriona Smith
Oronte Rolf Romei
Melisso Michael Ebbecke
Oberto Claudia Mahncke
Astolfo Heinz Gerger
DATE D’ENREGISTREMENT juin 2000
LIEU D’ENREGISTREMENT Staatsoper Stuttgart
EDITEUR Arthaus
DISTRIBUTION Intégral
LANGUE italien
SOUS-TITRES EN FRANCAIS oui
DATE DE PRODUCTION 26 février 2002
CATEGORIE Pal 16/9 – Son PCM Stéréo
DISPONIBLE Toutes zones

Critique de cet enregistrement dans :

  • Diapason – avril 2004 – appréciation 3 / 5

« L’image 16/9 a beau être d’une belle qualité, et le son aller de pair, on ne sera guère convaincu par cette Alcina venue de Stuttgart. Si la direction d’Alan Hacker flirte parfois ouvertement avec le métronome, on n’en est pas moins surpris d’entendre un orchestre de fosse des plus traditionnels s’accommoder de cette musique sans pose ni lourdeur. La distribution parie sur l’homogénéité, avec des voix intéressantes mais génériques, et une Alcina dont on ne peut nier la présence. Une fois encore, c’est la mise en scène qui disqualifie l’entreprise dans une pièce éclairée au néon, aux murs revêtus d’une tapisserie peu discrète, où évoluent des êtres tourmentés par la chair, fétichistes, de surcroît, si l’on en juge par le rôle des chaussures, et largement portés sur le strip-tease. Pour amateurs seulement. »

  • Crescendo – septembre/octobre 2002 – appréciation 8 / 10

« Le relatif statisme inhérent à l’oeuvre est encore renforcé par la présence d’un décor unique, lequel permet d’intéressantes déclinaisons sur le thème de l’apparence, du semblant, du reflet, de l’illusion, mais n’apporte guère de rythme à une mise en scène qui manque quelque peu de relief et de lisibilité…L’orchestre manque d »énergie et de précision…La distributionnréserve de bonnes surprises, surtout du côté féminin. Catherine Naglestad campe une Alcina ambigüe, tour à tour froide et déterminée, troublante de sensualité et d’une touchante fragilité. »