CD Giulio Cesare RCA

COMPOSITEUR
Georg Friedrich HAENDEL
LIBRETTISTE
Nicola Haym

 

ORCHESTRE
New York City Opera Chorus and Orchestra
CHOEUR
DIRECTION
Julius Rudel

Julius Caesar Norman Treigle baryton-basse
Cleopatra Beverly Sills soprano
Cornelia Maureen Forrester ccontralto
Sextus Beverly Wolff mezzo-soprano
Ptolemeo Spiro Malas basse
Achillas Dominic Cossa baryton
Nirenus Michael Devlin baryton-basse
Curio William Beck baryton

DATE D’ENREGISTREMENT avril/mai 1967
LIEU D’ENREGISTREMENT New York – Webster Hall
ENREGISTREMENT EN CONCERT

EDITEUR RCA
COLLECTION RCA Victor Opera Series
DATE DE PRODUCTION novembre 1988 (CD)
NOMBRE DE DISQUES 2 (à l’origine 3 x LP stéréo)
CATEGORIE ADD

Critique de cet enregistrement dans :
 

  • Opéra International – octobre 1990 – appréciation 2 / 5

« Si l’abattage de Beverly Sills en Cleopatra et l’aura tragique de Maureen Forrester en Cornelia peuvent justifier la présence de cette version…le reste de la distribution reste malgré tout une tragique erreur. Outre que Cesare et Tolomeo sont ici baryton et basse, les interprètes sont constamment à la frontière de l’asphyxie et ne respectent aucune des règles fondamentales de ce répertoire…La partition revue et expurgée par Julius Rudel est méconnaissable : coupures d’airs entiers ou de reprises, transfert de scènes d’un acte à l’autre… »

  • Opéra International – juin 1987

« Echo des représentations triomphales au New York City Opera en 1966…Malgré une direction élégante et pleine de grâce, le disque souffre de la présence de Norman Treigle dans le rôle-titre. Voix gutturale et caverneuse, il s’avère incapable de respecter les règles du bel canto…Beverly Sills, Cleopatra d’une grande complexité psychologique, constitue le point fort de la distribution ; la voix n’est pas véritablement belle, mais la technique et l’intelligence du chant sont remarquables. » 

  • L’Avant-Scène Opéra « Jules César » – 1987

« Le résultat est intéressant sinon toujours convaincant : éblouissant même avec Beverly Sills dont les pyrotechnies vocales font l’intérêt premier du coffret…A l’opposé, émouvante dans sa majesté intérieure, la Cornélia de Maureen Forrester qui faisait ses débuts à la scène….Son fils est ici la mezzo Beverly Wolff, une voix fraîche qui se marie avec grâce au timbre sombre de Forrester…le César de Norman Treigle est proprement insupportable…Quant à l’orchestre de Rudel, il est avant tout un orchestre de fosse qui sait soutenir les solistes. »