ARTAXERXES |
COMPOSITEUR |
Thomas ARNE |
LIBRETTISTE |
Pietro Metastasio |
ORCHESTRE | The Parley of Instruments |
CHOEUR | |
DIRECTION | Roy Goodman |
Mandane | Catherine Bott | soprano |
Arbaces | Patricia Spence | mezzo-soprano |
Artaxerxes | Christopher Robson | contre-ténor |
Artabanes | Ian Partridge | ténor |
Rimenes | Richard Edgar-Wilson | ténor |
Semira | Philippa Hyde | soprano |
Choeur | Colin Campbell | basse |
Choeur | Charles Gibbs | basse |
DATE D’ENREGISTREMENT | 24 / 30 mars 1995 |
LIEU D’ENREGISTREMENT | |
ENREGISTREMENT EN CONCERT |
EDITEUR | Hyperion |
DISTRIBUTION | Abeille Musique |
DATE DE PRODUCTION | février 1996 – réédition novembre 2009 |
NOMBRE DE DISQUES | 2 |
CATEGORIE | DDD |
Reconstruction et édition de Peter Holman
Critique de cet enregistrement dans :
Diapason – juin 1996 – appréciation 4 / 5 – technique 8
« Au premier plan, Mandane et Arbaces, soit Catherine Bott, très agile, mais au timbre bien plat et à l’élocution douteuse, et Patricia Spence, opulente, engagée, fort convaincante malgré un chant fruste. Le ténor Richard Edgar-Wilson constitue un autre élement positif de la distribution tandis que Ian Partridge en dépit d’un timbre toujours magnétique, ne peut cacher l’usure de ses moyens ni son peu de dons dramatique…Le Parley of Instruments joue plus des coloris que des contrastes, mais cela sied à cette partition rococo dont seul le dernier acte possède un véritable souffle. »
Opéra International – avril 1996 – appréciation 3 / 5
« Au manque de poids de l’oeuvre, répond, hélas, une égale légèreté de la distribution vocale, comme si une troupe de valets et de soubrettes jouait la plus hiératique des tragédies de Corneille. Exceptée l’excellente mezzo Patricia Spence (Arbaces), à la voix longue et héroïque, sans dureté ni acidités, comment croire un seul instant que paraissent devant nous de si exceptionnels héros historiques? Saluons cependant le fin musicien que demeure Ian Partridge (Artabanes), même dans un rôle trop lourd. L’énigme Catherine Bott se poursuit : comment peut-elle être une si excellente Didon avec Hogwood, et offrir ici une prestation si médiocre (ligne de chant quasi absente, diction pâteuse, quarte aiguë détimbrée et poussée, parce qu’appuyée sur le larynx)? Par contre, signalons la direction musicale de Boy Goodman, notamment par la justesse de ses tempi et la variété de sa palette orchestrale. »
Kritika – appréciation 15/20
http://perso.wanadoo.fr/alexandre.s/baroque.htm