CD Almira

ALMIRA

Almira

COMPOSITEUR

Georg Friedrich HAENDEL

LIBRETTISTE

Friedrich Christian Feustking, d’après Giulio Pancieri

 

ORCHESTRE Fiori Musicali
CHOEUR
DIRECTION Andrew Lawrence-King

Almira Ann Monoyios soprano
Adilia Patricia Rozario soprano
Bellante Linda Gerard soprano
Consalvo David Thomas basse
Osman Douglas Nasrawi ténor
Fernando Jamie McDougall ténor
Raimondo Olaf Haye basse
Tabarco Christian Elsner ténor

DATE D’ENREGISTREMENT 2 août 1994
LIEU D’ENREGISTREMENT Grand auditorium de la radio de Brême
ENREGISTREMENT EN CONCERT

EDITEUR CPO
DISTRIBUTION Codaex
DATE DE PRODUCTION septembre 1996
NOMBRE DE DISQUES 3
CATEGORIE DDD

Enregistrement faisant suite aux représentations aux festivals de Halle et de Brême en 1994

Critique de cet enregistrement dans : 

Diapason – novembre 1996 – appréciation 4 / 5 – technique 7

« Quelle invention déjà !..Bien que la basse continue dicte encore sa loi, l’influence de Reinhard Keiser souffle à l’orchestre de savoureux coloris. Haendel assouplit les formes rigides, s’abreuve de récitatif accompagné…Pour la troupe, se distinguent le métier de David Thomas et la fraîcheur d’Ann Monoyios…L’indifférence d’Andrew Lawrence-King au théâtre et sa répugnance pour les tempos rapides ne plaident pas en sa faveur ; mais il connaît l’art du récitatif et sa lecture reste vivante, variée dans la couleur sinon dans l’expression. Piètres violons mais savoureux continuo. »

Opéra International – juin 1996 – appréciation 5 / 5

« Les interprètes sont, pour la plupart, tout à fait à même de défendre correctement leurs parties. Une petite réserve, toutefois, pour la Bellante de Linda Gerrard, trop légère pour le rôle. Par contre, la voix un peu vieillie de Patricia Rozario apporte une grande autorité aux airs impressionnants d’Edilia. Les deux amoureux sont fort agréablement chantés par Ann Monoyios et Jamie MacDougall : ce sont à eux que sont réservés les quelques intenses récitatifs accompagnés de la partition. La direction de l’ensemble Fiori musicali est confiée au harpiste Andrew Lawrence-King, qui dirige tout ce petit monde un peu trop sagement. Mais il génère un si beau continuo, qu’on lui pardonne de laisser parfois les violons divaguer, ici et là. »