ZOROASTRE |
COMPOSITEUR |
Jean-Philippe RAMEAU |
LIBRETTISTE |
Louis de Cahusac |
ORCHESTRE | La Petite Bande |
CHOEUR | Collegium Vocale de Gand |
DIRECTION | Sigiswald Kuijken |
Zoroastre, Instituteur des Mages | John Elwes | ténor |
Amélite, héritière présomptive du trône de Bactriane | Greta de Reyghere | soprano |
Erinice, Princesse des Rois de Bactriane | Mieke van der Sluis | soprano |
Céphie, jeune Bactrienne de la Cour d’Amélite | Agnès Mellon | soprano |
Abramane, Grand-Prêtre d’Ariman | Gregory Reinhart | basse |
Oromasès, roi des Génies / Une Voix Souterraine | Jacques Bona | basse |
Zopire, Prêtre d’Ariman | Michel Verschaeve | basse |
Narbanor, Prêtre d’Ariman | François Fauché | basse |
La Vengeance | Philippe Cantor | basse |
DATE D’ENREGISTREMENT | mars 1983 |
LIEU D’ENREGISTREMENT | Lier in Flandern – Begijnhofkerk |
ENREGISTREMENT EN CONCERT | non |
EDITEUR | Harmonia Mundi |
COLLECTION | |
DATE DE PRODUCTION | 1983 / mars 1999 |
NOMBRE DE DISQUES | 3 ( à l’origine 3 LP) |
CATEGORIE |
Version de 1756
Critique de cet enregistrement dans :
Le Monde de la Musique – avril 2003
« Une première intégrale de cette deuxième version de Zoroastre avait fait grand effet en 1983, sous la baguette inspirée comme jamais de Sigiswald Kuijken, mais avec une distribution où le meilleur (John Elwes dans le rôle-titre) côtoyait le moins bon (les voix en clé de fa).
Opéra International – novembre 1984/décembre 1987
« L’enregistrement de Sigiswald Kuijken, en dépit de ses nombreuses beautés, ne saurait nous convenir totalement. Trop d’à peu près dans la prononciation…La prise de son consacre trop la prééminence des voix par rapport à l’orchestre. C’est dommage car la partie instrumentale est d’une exceptionnelle richesse…Le clan des « méchants » nous déçoit : ni Mieke van der Sluis au soprano souvent ingrat et glacé, ni Gregory Reinhart, au timbre cheleureux mais à l’ambitus trop étroit, ne parviennent à la noirceur ou à la puissance maléfique…Le clan des « purs » en revanche atteint de bien meilleurs niveaux : Greta de Reyghere en particulier, Amélite touchante et vraie, au soprano à la fois léger et puissant, Agnès Mellon aussi, Céphie pleine de tendresse et de douceur. John Elwes, enfin, campe un Zoroastre vertueux, courageux, très humain… »