IL VOLOGESO |
COMPOSITEUR |
Niccolo JOMMELLI |
LIBRETTISTE |
Mattia Verazi |
ORCHESTRE | Orchestre de Chambre de Stuttgart |
CHOEUR | Choeur de Stuttgart |
DIRECTION | Frieder Bernius |
Vologeso | Jörg Waschinski | |
Lucio Vero | Lothar Odinius | |
Berenice | Gabriele Rossmanith | |
Lucilla | Helene Schneiderman | |
Aniceto | Daniel Taylor | |
Flavio | Mechtild Bach |
DATE D’ENREGISTREMENT | 1997 |
LIEU D’ENREGISTREMENT | |
ENREGISTREMENT EN CONCERT | non |
EDITEUR | Orfeo Records/Harmonia Mundi |
COLLECTION | |
DATE DE PRODUCTION | octobre 1998 |
NOMBRE DE DISQUES | 3 |
CATEGORIE | DDD |
Critique de ce disque dans :
Le Monde de la Musique – mars 1999
« ce bel enregistrement »… »la distribution est dominée par le sopraniste Jörg Waschinski, qui déjoue les difficultés et les pièges du rôle-titre »… »et l’ensemble est des plus satisfaisants ».
Goldberg – hiver 1998/99 – appréciation 5 / 5 – Recommandé
« Le personnage le plus intéressant est celui de Vero (un rôle superbement chanté par Odinius), moins un tyran classique qu’un homme déchiré par une passion incontrôlable et dévorante. Schneidermann est émouvante de compassion dans le rôle de Lucilla, sa fiancée d’une patience à toute épreuve : quelle jolie voix, ample, riche, que complète admirablement la Bérénice si clairement définie de Rossmanith. Dans le rôle titre, Waschinski, un véritable sopraniste fausset, fait résonner sa voix d’une façon saisissante qui nous donne une bonne idée de la puissance des castrats. Malheureusement sa diction laisse à désirer. Les deux rôles secondaires sont également chantés avec talent. La direction de Bernius est tout à fait idiomatique, le jeu de l’orchestre concentré, élégant et incisif. L’excellente qualité sonore nous transmet à merveille le frisson qui anime cette interprétation ».