CD Orfeo (direction Harnoncourt)

L’ORFEO

Orfeo

COMPOSITEUR

Claudio MONTEVERDI

LIBRETTISTE

Alessandro Striggio

 

ORCHESTRE Orchestre de l’Opéra de Lyon
CHOEUR Choeurs de la Chapelle Royale
DIRECTION Michel Corboz

Euridice, Speranza Audrey Michael soprano
Musica Colette Alliot-Lugaz soprano
Messagiera Carolyn Watkinson mezzo-soprano
Orfeo Gino Quilico
Plutone, Caro Frangiskos Voutsinos basse
Pastor I François Le Roux
Proserpina Danielle Borst
Pastor III Henri Ledroit
Ninfa Shelley Whittingam
Pastor II Guy de Mey
Apollo Eric Tappy
Pastsor IV, Spirito Gilles Cachemaille

DATE D’ENREGISTREMENT février 1985
LIEU D’ENREGISTREMENT Chartreuse de Villeneuve-les-Avignon
ENREGISTREMENT EN CONCERT non

EDITEUR Erato
COLLECTION
DATE DE PRODUCTION 1985
NOMBRE DE DISQUES 2
CATEGORIE

Adaptation Edward Tarr

  Critique de cet enregistrement dans :

Classica/Répertoire – novembre 2004

  « Pour cette bande-son du film de Claude Goretta, réalisé à la suite de représentations à Aix, Éric Tappy laisse Orphée pour Apollon, avec toujours la même lumière dans la voix. Orphée, c’est – hélas – le baryton Gino Quilico : une catastrophe sur le plan stylistique, qui fit regretter à beaucoup ce besoin inexpliqué de Corboz de revenir sur l’ouvrage. L’agilité des cornettistes ayant progressé, on gagne certes sur ce plan, mais pour perdre partout ailleurs, l’orchestre restant en outre majoritairement moderne. »

Opéra International – septembre 1985

« Corboz, qui a fait appel à des voix d’opéra, semble avoir voulu privilégier l’émotion dramatique et pathétique des situations. »

 L’Avant-Scène Opéra

« La seconde version de Michel Corboz est sans doute la seule qui mérite d’être totalement oubliée. Il s’agit en fait de la bande originale d’un film (lui-même très discutable) réalisé par Claude Goretta, à la suite de représentations au Festival d’Aix-en-Provence. L’interprétation est totalement desservie par un orchestre moderne hors-style, un Orphée redoutable et des solistes peu concernés, si l’on excepte les interventions de Carolyn Watkinson, et, hélas dans des rôles secondaires, d’Henri Ledroit et de Guy de Mey. Enfin, les conceptions musicales de Michel Corboz n’ont guère évolué depuis son précédent enregistrement, et ce qui sembla novateur en 1968 parut totalement anachronique en 1985. »

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