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LE TRIOMPHE D’IRIS |
| COMPOSITEUR |
Louis-Nicolas CLERAMBAULT |
| LIBRETTISTE |
| ORCHESTRE | Le Concert Spirituel |
| CHOEUR | |
| DIRECTION | Hervé Niquet |
| Sylvie | Gaëlle Michaly | |
| Daphnis | Serge Goubioud | |
| Philis | Claire Geoffroy-Dechaume | |
| Tircis | Jacques Bona | |
| Bergère, Amour | Marie-Louise Duthoit | |
| Sylvandre | Jean-François Novelli | |
| Licaste | Jean-François Lombard |
| DATE D’ENREGISTREMENT | septembre 1998 |
| LIEU D’ENREGISTREMENT | Eglise Notre-Dame du Bon-Secours – Paris |
| ENREGISTREMENT EN CONCERT | non |
| EDITEUR | Naxos |
| DATE DE PRODUCTION | novembre 1999 |
| NOMBRE DE DISQUES | 1 |
| CATEGORIE | DDD |
Critique de ce disque dans :
Le Monde de la Musique – février 2000
« correctement chanté par une distribution sans faille »
Diapason – février 2000 (appréciation : 4 « Diapasons » / technique : 6)
Classica – février 2000 (appréciation 5/5)
« direction d’orchestre énergique et juste »… »la délicieuse Marie-Louise Duthoit s’épanche idéalement »… »aucune faute de goût »
Opéra International – mars 2000 – appréciation 3/5
« Composé en 1706, Le Triomphe d’Iris évoque les débats de trois dissemblables couples amoureux. L’intérêt de cette partition repose dans la variété de ses atmosphères et dans son charme futile, toutes qualités que ses interprètes ont l’ardente obligation d’aller chercher, puisque ce petit opéra ne se livre pas immédiatement. Ce travail interprétatif nécessite un chatoyant sens de la couleur, des phrasés élégants, en bref « rien qui pèse ou qui pose ». A l’évidence, Hervé Niquet et ses compagnons ont été, avant tout, soucieux de donner une robuste vêture sonore et la continuité dramatique propre au grand opéra. Ils ont, par contre, quelque peu délaissé les subtilités des couleurs et des articulations. De la distribution vocale se détachent la haute-contre Serge Goubioud, dont l’art s’affermit sans cesse, la basse Jacques Bona, la mezzo-soprano Claire Geoffroy-Dechaume et, dans un rôle accessoire, la jeune haute-contre Jean-Français Lombard. »
Répertoire – mars 2000 – appréciation 7/10
« En grande forme, le Concert Spirituel bénéficie d’instrumentistes de haut niveau »… »le choeur très homogène »… »Novelli, Bona, Duthoit, Méchaly excellents »