ACIS AND GALATEA |
COMPOSITEUR |
Georg Friedrich HAENDEL |
LIBRETTISTE |
John Gay |
ORCHESTRE | English Baroque Soloists |
CHOEUR | Monteverdi Choir |
DIRECTION | John Eliot Gardiner |
Galatea | Norma Burrowes | |
Acis | Anthony Rolfe-Johnston | |
Damon | Martyn Hill | |
Polyphemus | Willard White |
DATE D’ENREGISTREMENT | 1978 |
LIEU D’ENREGISTREMENT | |
ENREGISTREMENT EN CONCERT |
EDITEUR | Archiv Produktion |
COLLECTION | Blue |
DATE DE PRODUCTION | février 2003 |
NOMBRE DE DISQUES | 2 |
CATEGORIE | ADD |
Critique de cet enregistrement dans :
Diapason – avril 2003 – appréciation Diapason d’or – technique 7
« Lorsque cet Acis parut, en 1978, notre bonheur fut sans nuage ; vingt-cinq ans plus tard, nous ne l’écoutons plus avec nos oreilles de Chimène. Nos réserves portent sur la température de l’interprétation, plus avril que juillet, alors qu’on aimerait s’y rouler dans la plus torride sensualité. Comment résister cependant à la force du dessin rythmique, à la virtuosité des English Baroque Soloists, à la perfection de Rolfe Johnson et de Martyn Hill. Si Mlle Burrowes manque un peu de couleur et de charme, elle n’a pas encore trouvé de rivale…Un des plus purs chefs-d’oeuvre du répertoire, vendu à un prix réduit : indispensable. »
Répertoire – mars 2003 – appréciation 9 / 10
« Personne n’a encore réussi à détrôner les chef britannique dans cette oeuvre vive et colorée. A l’élégante réserve de Norma Burrowes, répond un Anthony Rolfe-Johnson parfait dans le registre bucolique. Willard White, en revanche, en fait beaucoup en Polyphème, tandis que le Damon de Martyn Hill manque un peu de personnalité. »
Opéra International – juillet/août 1988 – appréciation 4 / 5
« Un enregistrement superbe. De bout en bout animé d’un très beau souffle poétique, il se déroule avec élégance, dans le style si frais de la pastorale…Entraînés par la verve de Gardiner et de ses remarquables English Soloists, les interprètes se livrent sans fard : Norma Burrowes, un peu réservée, mais à la voix aérienne et sûre, Martyn Hill, Damon impeccable, Willard White, Polyphème faussement terrible…Une incontestable réussite… »