L’oeuvre – Le compositeur
THE FAIRY QUEEN |
COMPOSITEUR |
Henry PURCELL |
LIBRETTISTE |
Elkanah Settle, d’après Shakespeare |
ORCHESTRE | The London Classical Players |
CHOEUR | The Schütz Choir of London |
DIRECTION | Roger Norrington |
Lorraine Hunt | soprano | |
Catherine Pierard | soprano | |
Susan Bickley | mezzo-soprano | |
Howard Crook | ténor | |
Mark Padmore | ténor | |
David Wilson-Johnson | basse | |
Richard Wistreich | basse |
DATE D’ENREGISTREMENT | 1993 |
LIEU D’ENREGISTREMENT | |
ENREGISTREMENT EN CONCERT |
EDITEUR | Virgin Veritas |
DISTRIBUTION | EMI Classics |
DATE DE PRODUCTION | 1995/février 2002 |
NOMBRE DE DISQUES | 2 |
CATEGORIE | DDD |
Critique de cet enregistrement dans :
Classica – mai 2002
« Norrington accumule, pêle-mêle, incompréhensibles baisses de régime et intuitions simplement géniales….une Lorraine Hunt absolument déchirante. »
Diapason – avril 2002 – appréciation 4 / 5
« Un Fairy Queen de chambre, sans drame, sans conflit, sans volupté, mais sans non plus la moindre faute de goût…La lecture de Norrington peut donner l’impression que rien dans cette aventure ne le touche. Mais sa lecture connaît d’heureux moments… »
Répertoire – avril 2002 – appréciation 5 / 10
« une version décevante et inaccomplie »
Opéra International – mars 1995
« Enregistrée en 1993, cette version quitte les effectif solistes de Christie et du Scholars Baroque Ensemble, et leur préfère les masses chorales des Britten, Gardiner et Christophers. De plus, les solistes y sont – pour des raisons d’économie – peu nom-breux : deux sopranos, une mezzo, deux ténors et deux basses. Dans cet enregistrement, Norrington ne dément pas sa gêne permanente à l’égard du théâtre lyrique : il est impossible de savoir ce qu’il entend de singulier dans The Fairy Queen, de deviner pourquoi il a monté cette partition plutôt qu’une autre. Etre si peu engagé et ne choisir à ce point aucun axe dramatique tient du prodige. Et ce ne sont pas les solistes, peu concernés, le choeur mille fois trop massif et un continuo impalpable, qui sauvent cette version de la grisaille. »
Le Monde de la Musique – mars 1995 – appréciation 3 / 5 – technique 8
« Il manque à la direction sûre mais appliquée de Roger Norrington l’imagination pour mettre en valeur le contenu théâtral de cette oeuvre scénique la plus ambitieuse de Purcell. Le chef anglais, qui cherche le raffinement sonore plus que l’effet dramatique, vide cette partition où la magie embrase la farce de sa gaieté, de son essence comique…Les scènes de comédie sont totalement privées de charme. »