LE BOURGEOIS GENTILHOMME |
COMPOSITEUR |
Jean-Baptiste LULLY |
LIBRETTISTE |
Jean-Baptiste Poquelin, dit Molière |
ORCHESTRE | La Simphonie du Marais |
CHOEUR | |
DIRECTION | Hugo Reyne |
Dorimène | Françoise Masset | soprano |
Julie Hassler | soprano | |
François-Nicolas Geslot | haute-contre | |
Renaud Tripathi | ténor | |
Bruno Boterf | ténor | |
Le Maître de musique, Covielle | Yves Coudray | ténor |
Jean-Louis Georgel | baryton | |
Philippe Roche | basse | |
Le Maître à danser, Dorante, Cléonte | Fabrice Conan | |
L’Élève de musique | Hugo Reyne | |
Monsieur Jourdain | Jean-Paul Farré | |
Premier laquais, le Garçon tailleur | Nicolas Kaczorowski | |
Second laquais, le Maître tailleur | Laurent Letailleur |
DATE D’ENREGISTREMENT | 2001 |
LIEU D’ENREGISTREMENT | Versailles, Opéra Royal du Château |
ENREGISTREMENT EN CONCERT | oui |
EDITEUR | Accord |
DISTRIBUTION | Universal |
DATE DE PRODUCTION | 9 septembre 2002 |
NOMBRE DE DISQUES | 2 |
CATEGORIE | DDD |
Collection Lully ou le Musicien du Soleil – volume IV
Critique de cet enregistrement dans :
Diapason – novembre 2002 – appréciation 5 / 5
« Enregistrée en public, l’interprétation perd en discipline ce qu’elle gagne en vivacité et en pertinence. Yves Coudray et Fabrice Conan font de fort plausibles professuers d’un Jean-Paul Farre touchant en Monsieur Jourdain…Parmi les chanteurs, on distingue l’exquise Françoise Masset, dont la Musicienne, aussi pure de voix que de diction…Un ensemble homogène et dévoué, un chef un rien prudent parfois, mais toujours musicien… »
Classica – novembre 2002 – appréciation : Recommandé
« Hugo Reyne n’avait jamais atteint une telle perfection que dans ce double disque. Si les trois précédents volumes (Idylle sur la Paix, Ballet royal de Flore, La Grotte de Versailles) avaient quelque peu déçu en raison de leur aspect brouillon, Le Bourgeois Gentilhomme, farce aristocratique composée en collaboration avec Molière, se révèle des plus agréables à l’écoute. Capté en concert àVersailles, l’enregistrement fait parfaitement revivre la trucu-lence des vers, deviner les jeux de scène et apprécier à leur juste saveur le plaisir évident qu’ont eu les interprètes àadapter leur chant ou leur voix au théâtre. A ce jeu-là, Jean-Louis Georgel, Bruno Soterf, Renaud Tripathi ou Phïlippe Roche, pour ne citer qu’eux, sortent vainqueurs Nombreux à intervenir, les autres chanteurs (tous excellents) et les acteurs n’ont rien à leur envier! L’orchestre, comme un délicat support à l’action, sait se faire tantôt discret, tantôt versaillais dans ses moindres inflexions. »