CD Arianna

ARIANNA

Arianna

COMPOSITEUR

Benedetto MARCELLO

LIBRETTISTE

Vincenzo Cassani

 

ORCHESTRE Academia de li Musici
CHOEUR Athestis Chorus
DIRECTION Filippo Maria Bressan

Arianna Anna Chierichetti
Fedra Gloria Banditelli
Teseo Mirko Guadagnini
Bacco Sergio Foresti
Sileno Antonio Abete

DATE D’ENREGISTREMENT 1999
LIEU D’ENREGISTREMENT
ENREGISTREMENT EN CONCERT

EDITEUR Chandos/Musisoft
COLLECTION
DATE DE PRODUCTION 2000
NOMBRE DE DISQUES 3
CATEGORIE DDD

Critique de cet enregistrement dans :

Le Monde de la Musique – septembre 2000

« une variété de ressources, une palette de couleurs et de nuances »… »Marcello excelle aussi bien dans les superbes effets descriptifs que dans le portrait intime »… »Malheureusement…si l’orchestre parvient à mettre en valeur la luxuriance des détails, on ne peut en dire autant du plateau de chanteurs »… »les problèmes du ténor et de la basse sont compensés par Anna Chierichetti et surtout par …Gloria Banditelli »… »une découverte majeure ».

Kritika – appréciation 14/20

http://perso.wanadoo.fr/alexandre.s/critiques.htm

 Opéra International – octobre 2000 – note 3 / 5

 » Pour honnête qu’elle soit, la présente réalisation n’est pas grandement enthousiasmante. La responsabilité en revient au directeur musical, Filippo Maria Bressan, qui ne manifeste pas cette nécessaire imagination que mettent ses confrères Florio ou Alessandrini à dynamiser les trésors italiens qu’ils révèlent. En des tempi tous attendus et avec une basse continue dépassée qui fait simple acte de présence, Bressan semble empêtré dans une paresseuse routine chorale et peine à soutenir ses solistes vocaux. L’orchestre ne brille pas par son homogénéité. Enfin, la grande vertèbre, notamment dramatique, de l’ouvrage fait défaut. Pourtant, le plateau vocal n’est pas sans mérites. A commencer par la magnifique mezzo Gloria Banditelli (Fedra) qui, à elle seule, assure une certaine continuité stylistique, musicale et dramatique àl’oeuvre. Antonio Abete (Sileno) soutient également l’intérêt actuellement rares sont les basses dotées d’un timbre profond et d’une tessiture longue, mais dont l’émission est suffisamment ductile pour leur permettre des vocalisations aisées. Les trois autres chanteurs, à commencer par la soprano Anna Chienichetti dans le rôle-titre, auraient sans doute donné plus de relief à leur prestation, si une autre férule musicale les avait stimulés. »